Les élèves repartiront avec des outils et des cadres permettant de mettre en œuvre des réponses réalistes et modernes aux défis de la sécurité des rues. Les élèves seront également en mesure de communiquer avec des autorités de sécurité routière partageant les mêmes idées et d’examiner maintenant les pratiques de pointe dans le monde.
Le brevet sécurité routière collège est conçu pour donner aux étudiants les moyens d’obtenir des résultats concrets en matière de traumatismes routiers grâce à des possibilités de collaboration et de partenariat qui augmenteront l’impact.
Principe et modalités
Remis dans les facultés depuis 1993, les ASSR (attestations scolaires de sécurité routière), adoptés par les élèves des collèges universitaires en 5e et en 3e, constituent un élément essentiel de la scolarité obligatoire. Ces attestations permettent de tester les compétences en termes de protection routière acquis pendant les années scolaires.
Les attestations écoutent la compréhension des dangers et des réglementations qui s’appliquent aux différents usagers des routes : piétons, cyclistes, cyclomotoristes, motocyclistes (voir notre guide sur le dépassement à moto), automobilistes et passagers, futurs conducteurs. L’objectif du certificat de brevet sécurité routière collège est d’encourager la compréhension de la relation entre les règles, les dangers et les accidents.
Les élèves de 5e, 4e, 3e et 2nde passeront les tests ASSR en juin. Ces certificats scolaires sont achetés dans le cadre de l’enseignement obligatoire des règles de sécurité routière. L’attestation de niveau 1 offre aux collégiens un droit d’accès à la pratique du cyclomoteur en France. L’ASSR de niveau 2 est obligatoire pour obtenir un permis de conduire avant l’âge de 21 ans.
L’ASSR en France
En France, la Direction de l’Éducation, des Sports et de la Jeunesse et, en partenariat avec la Préfecture de Police, organise des formations et des contrôles pour permettre élèves inscrits dans les écoles secondaires qui séjournent en France, et qui seront à l’avenir titulaires du brevet sécurité routière collège ou de certificat d’aptitude à la conduite en France, d’obtenir l’ASSR. Cet enseignement est également dispensé aux étudiants qui séjournent à France.
– ASSR 1
L’ASSR 1 s’adresse à tous les étudiants de 5e et aux élèves qui auront 14 ans à la fin de l’année civile, ainsi qu’aux élèves qui ont déjà échoué à l’examen. Ce programme permet aux élèves de s’inscrire à la formation spécifique pour le brevet sécurité routière collège.
– ASSR 2
Tous les collégiens de 3e et les élèves qui auront 16 ans, ainsi que les collégiens qui ont échoué auparavant, peuvent se présenter à l’épreuve de l’ASSR 2.
L’ASSR 2 est indispensable et obligatoire pour ceux qui veulent obtenir l’une des catégories suivantes de licence de conducteur: permis moto (A et A1), permis B (voiture sans permis), que ce soit à travers la voie de l’apprentissage anticipé souvent appelé conduite avec accompagnement, ou à l’aide de la voie ordinaire) et B1 (quad lourd).
Cette option est uniquement accessible aux jeunes humains nés à partir du 1er janvier 1988. L’ASSR 2 permet aussi aux collégiens de s’inscrire à la formation réaliste du brevet sécurité routière collège.
A lire davantage au sujet de la récupération des points de permis.
Le brevet de sécurité routière (BSR)
En l’absence de permis (licence de conduite), un brevet sécurité routière collège (BSR) est nécessaire pour conduire :
– un cyclomoteur : dès 14 ans
– un quad léger (voiturette) : dès 16 ans
L’obligation pour ceux qui n’ont pas de permis de conserver un BSR pour conduire un vélomoteur après l’âge de 16 ans ou une voiturette dès 16 ans ne s’applique qu’aux personnes qui sont nées à partir du 1er janvier 1988.
Le brevet sécurité routière collège se concentre sur la manière d’évaluer de façon critique les faits utilisés pour éclairer les problèmes de protection des rues. L’unité couvrira les concepts clés des cadres de santé et de sécurité publique concernant la sécurité des rues ; pourquoi, comment et où les sources de données sont générées ; et comment considérer les principes de première classe de l’information, les implications et les questions morales.
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